Casque moto airbag : premier contact
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Casque moto airbag : premier contact
Destiné à améliorer la protection des cervicales, le casque airbag APC arrive sur le marché français. Découvrez en vidéo la présentation de ce nouvel équipement de sécurité.
Coup du lapin, hyperflexion, compression... Les blessures aux cervicales représentent un risque majeur pour les motards, notamment en termes de paralysie. Pour améliorer la protection de cette zone, une entreprise espagnole a mis au point un airbag intégré à un casque intégral. En cas d’accident, un ensemble de coussins se déploie autour du cou et descend jusqu’à la septième vertèbre.
L’opération s’accomplit en 0,15 sec à partir du l’impulsion émise par une centrale électronique de détection de choc placée sous la selle. Le coussin se dégonfle ensuite naturellement pour laisser la possibilité aux secours d’intervenir sans entrave.
La liaison entre les deux modules, de type Bluetooth, dispense de liaison mécanique et laisse au pilote une totale liberté de mouvement. La centrale peut reconnaître jusqu’à cinq casques différents, à commencer par ceux du pilote et d’un(e) passager(ère). L’autonomie annoncée de l’accumulateur placé dans le casque est d’environ 28 h, la centrale est quant à elle directement alimentée par la batterie du véhicule.
A priori, les risques de déclenchement intempestifs, lors d’un choc en montant un trottoir par exemple, sont écartés. Un algorithme développé pour l’occasion définit le champ d’entrée en action. Le cas le plus courant est une forte accélération, ou décélération, engendrée par un la rencontre avec un autre véhicule.
Au premier contact, plusieurs réserves peuvent être émises sur ce casque. À commencer par le poids : 1850 g relevés sur notre balance. C’est lourd, et surtout placé très en arrière, à tel point que le basculement de la tête se fait réellement sentir. Autre problème, certaines zones à forte activité électromagnétique pourraient perturber le fonctionnement du système. À vérifier.
Développés à l’initiative de médecins, ces coussins ont pour tâche d’immobiliser le cou en cas d’accident et prévenir ainsi les risques de paralysie.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’esthétique du casque APC est plutôt lourde. D’ailleurs, il n’y a pas que l’esthétique : avec ses 1850 gr, ce casque est loin d’être un modèle de légèreté ! S’il protège les cervicales en cas de choc, il les fatigue aussi en roulant.
Le casque airbag a été développé par APC sur la base d’un NZI Vitesse. Le système n’est pas vendu séparément. Impossible donc de faire équiper son casque, quelle qu’en soit la marque.
Disponibilité : printemps 2009
Prix : 898 € (casque + centrale de détection de choc), 698 € (casque seul)
Site du fabricant : www.apcsystems.com
Coup du lapin, hyperflexion, compression... Les blessures aux cervicales représentent un risque majeur pour les motards, notamment en termes de paralysie. Pour améliorer la protection de cette zone, une entreprise espagnole a mis au point un airbag intégré à un casque intégral. En cas d’accident, un ensemble de coussins se déploie autour du cou et descend jusqu’à la septième vertèbre.
L’opération s’accomplit en 0,15 sec à partir du l’impulsion émise par une centrale électronique de détection de choc placée sous la selle. Le coussin se dégonfle ensuite naturellement pour laisser la possibilité aux secours d’intervenir sans entrave.
La liaison entre les deux modules, de type Bluetooth, dispense de liaison mécanique et laisse au pilote une totale liberté de mouvement. La centrale peut reconnaître jusqu’à cinq casques différents, à commencer par ceux du pilote et d’un(e) passager(ère). L’autonomie annoncée de l’accumulateur placé dans le casque est d’environ 28 h, la centrale est quant à elle directement alimentée par la batterie du véhicule.
A priori, les risques de déclenchement intempestifs, lors d’un choc en montant un trottoir par exemple, sont écartés. Un algorithme développé pour l’occasion définit le champ d’entrée en action. Le cas le plus courant est une forte accélération, ou décélération, engendrée par un la rencontre avec un autre véhicule.
Au premier contact, plusieurs réserves peuvent être émises sur ce casque. À commencer par le poids : 1850 g relevés sur notre balance. C’est lourd, et surtout placé très en arrière, à tel point que le basculement de la tête se fait réellement sentir. Autre problème, certaines zones à forte activité électromagnétique pourraient perturber le fonctionnement du système. À vérifier.
Développés à l’initiative de médecins, ces coussins ont pour tâche d’immobiliser le cou en cas d’accident et prévenir ainsi les risques de paralysie.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’esthétique du casque APC est plutôt lourde. D’ailleurs, il n’y a pas que l’esthétique : avec ses 1850 gr, ce casque est loin d’être un modèle de légèreté ! S’il protège les cervicales en cas de choc, il les fatigue aussi en roulant.
Le casque airbag a été développé par APC sur la base d’un NZI Vitesse. Le système n’est pas vendu séparément. Impossible donc de faire équiper son casque, quelle qu’en soit la marque.
Re: Casque moto airbag : premier contact
lol ilo faud etre ru=iche pour avoir le privilège de porter ce casque,comme les belles voitures ,si on a de la tune,on est proteger;sinon on roule avec une vieille voiture,faud faire la guerre a tout ca,on a tous le droit d etre proteger,pas grave ,bizouille
Invité- Invité
Re: Casque moto airbag : premier contact
Holding Trophy confirme la commercialisation de son airbag sans fil en 2009
La protection des usagers de deux-roues via le déploiement de
coussins gonflables (airbags) est au coeur de nombreuses recherches.
Après plusieurs années de développement, Holding Trophy présente un
dispositif sans fil qui se veut efficace et autonome.
Une application délicate sur deux-roues
Devenu
fréquent en automobile - certaines en comptent jusqu'à huit, dont
d'impressionnants airbags "rideaux" qui s'ouvrent le long des vitres -,
le coussin gonflable de sécurité est le fruit d'un demi siècle d'études
et de recherches. Son rôle de protection actif est donc désormais bien
ancré dans l'inconscient collectif et dans le cahier des charges des
constructeurs.
Une application délicate sur deux-roues
Mauvaise élève de la sécurité routière (lire
encadré ci-contre), la pratique de la moto est régulièrement montrée du
doigt, tant le manque de protection et l'exposition directe de son
conducteur aux chocs peuvent entraîner des blessures graves et des
lésions souvent irréversibles. Directement concernés par la
problématique, constructeurs et manufacturiers n'ont de cesse
d'améliorer la sécurité de leurs usagers : l'ABS est disponible sur bon
nombre de motos - même les plus sportives avec Honda , les pneumatiques sont toujours plus performants et les équipements de plus en plus sûrs.
Pourtant, l'airbag si présent en automobile
a du mal à percer du côté de la moto. Les différents acteurs se cassent
régulièrement le nez sur des problèmes de coût, de poids et de
praticité. Un airbag est bien proposé sur la Honda Goldwing, mais il
perd de son utilité en cas d'éjection du pilote et sa diffusion se
limite pour l'instant au luxueux vaisseau amiral de la marque pour des
raisons d'encombrements.
Difficile en effet de trouver l'espace
nécessaire à ce système complexe sur des motos contemporaines, sur
lesquelles chaque centimètre est déjà optimisé. Dès lors, beaucoup sont
convaincus que l'airbag doit être "porté" par le conducteur, ce qui
offre trois avantages : aucune modification n'est à apporter à la
machine, le conducteur peut changer de monture à sa guise tout en
restant protégé, et le dispositif gonflé autour du pilote protège aussi
des chocs subis après éjection de la moto. La
protection plus localisée est au coeur des débats : les chiffres
montrent que les blessures les plus sévères - voire mortelles - en cas
de chute sont essentiellement cantonnées à la partie supérieure du
corps (tête, abdomen thorax et colonne vertébrale). Dès lors, il
apparaît logique de se concentrer sur un dispositif portable qui
protège efficacement ces organes (voir schéma ci-dessus).
La protection des usagers de deux-roues via le déploiement de
coussins gonflables (airbags) est au coeur de nombreuses recherches.
Après plusieurs années de développement, Holding Trophy présente un
dispositif sans fil qui se veut efficace et autonome.
Une application délicate sur deux-roues
Devenu
fréquent en automobile - certaines en comptent jusqu'à huit, dont
d'impressionnants airbags "rideaux" qui s'ouvrent le long des vitres -,
le coussin gonflable de sécurité est le fruit d'un demi siècle d'études
et de recherches. Son rôle de protection actif est donc désormais bien
ancré dans l'inconscient collectif et dans le cahier des charges des
constructeurs.
Une application délicate sur deux-roues
Mauvaise élève de la sécurité routière (lire
encadré ci-contre), la pratique de la moto est régulièrement montrée du
doigt, tant le manque de protection et l'exposition directe de son
conducteur aux chocs peuvent entraîner des blessures graves et des
lésions souvent irréversibles. Directement concernés par la
problématique, constructeurs et manufacturiers n'ont de cesse
d'améliorer la sécurité de leurs usagers : l'ABS est disponible sur bon
nombre de motos - même les plus sportives avec Honda , les pneumatiques sont toujours plus performants et les équipements de plus en plus sûrs.
Pourtant, l'airbag si présent en automobile
a du mal à percer du côté de la moto. Les différents acteurs se cassent
régulièrement le nez sur des problèmes de coût, de poids et de
praticité. Un airbag est bien proposé sur la Honda Goldwing, mais il
perd de son utilité en cas d'éjection du pilote et sa diffusion se
limite pour l'instant au luxueux vaisseau amiral de la marque pour des
raisons d'encombrements.
Difficile en effet de trouver l'espace
nécessaire à ce système complexe sur des motos contemporaines, sur
lesquelles chaque centimètre est déjà optimisé. Dès lors, beaucoup sont
convaincus que l'airbag doit être "porté" par le conducteur, ce qui
offre trois avantages : aucune modification n'est à apporter à la
machine, le conducteur peut changer de monture à sa guise tout en
restant protégé, et le dispositif gonflé autour du pilote protège aussi
des chocs subis après éjection de la moto. La
protection plus localisée est au coeur des débats : les chiffres
montrent que les blessures les plus sévères - voire mortelles - en cas
de chute sont essentiellement cantonnées à la partie supérieure du
corps (tête, abdomen thorax et colonne vertébrale). Dès lors, il
apparaît logique de se concentrer sur un dispositif portable qui
protège efficacement ces organes (voir schéma ci-dessus).
Invité- Invité
Re: Casque moto airbag : premier contact
VOILA LA SUITE
Un gilet sans fil gonflable en 80 millisecondes
Développés dans le domaine de
l'équitation puis du deux-roues, des dispositifs portatifs et autonomes
de gilets ou de vestes gonflables existent déjà sur le marché : la
société française Hélite en commercialise depuis quelques années, tout
comme le manufacturier italien Spidi. Relativement onéreux, ces
systèmes présentent surtout une contrainte rebutant la majorité des
intéressés : le déploiement de l'airbag est commandé via un câble
reliant le pilote à la moto. Un mécanisme simple mais un tantinet
contraignant, qui peut diminuer la réactivité de l'ensemble puisque le
pilote doit être éjecté de sa monture pour que l'airbag se gonfle. A
l'heure de l'électronique à outrance, un autre grand nom de
l'équipement moto s'est attelé à un projet d'airbag se déclenchant sur
ordre d'un microprocesseur, renseigné par des capteurs d'accélérations
et un gyroscope : le D-Air, développé en Grands Prix par les pilotes
Dainese . Encore en phase d'essais, le dispositif paraît prometteur mais Dainese semble avoir des difficultés à finaliser sa démarche.
API, première société européenne à
proposer un airbag de protection pour cavaliers, a suivi cette
démarche. Depuis 1999, l'enseigne planche elle aussi sur la faisabilité
d'un système d'airbag sans fil, doté de propriétés de gonflages
similaires aux standards automobiles. Approché par le groupe Holding
Trophy (qui regroupe les marques Bering, Segura, BLH, STT...) en 2006,
API devient la filiale de recherche et développement du groupe
français, avec pour objectif principal d'élaborer ce fameux dispositif
de protection. Présenté officiellement au salon Intermot de Cologne, "l'airbag de protection intelligente"
s'appuie sur des études menées par l'INRETS (Institut de recherche sur
le transport et leur sécurité) dont les résultats ont mis en avant la
réactivité minimale du dispositif pour une protection optimale et les
zones du corps humain à protéger en priorité. Utilisant
une liaison radio pour déclencher le gonflement, l'airbag API Holding
Trophy réagit 30 millisecondes après la détection du choc, grâce à
l'envoi de signaux par les accéléromètres montés sur la fourche du
deux-roues. Le gonflement est effectif en 80 millisecondes après
l'impact et les coussins de 60 litres restent totalement gonflés durant
six secondes - soit le double qu'un airbag auto - pour protéger son
utilisateur d'un second choc consécutif à une glissade.
Ultra-réactif - les crash-tests
moto-voiture et les données de l'INRETS démontrent que le gilet est
complètement gonflé quelques instants avant que le pilote percute
l'obstacle -, le système ne nécessite aucune maintenance particulière,
hormis le remplacement annuel des piles d'alimentation. L'appairage
entre le gilet et la moto repose sur des technologies avancées
comparable au Bluetooth et se réalise une fois pour toutes lors de
l'achat. D'un volume conséquent une fois déployé, l'airbag API Holding
Trophy peut être porté par le conducteur et son passager, sans aucun
risque d'éjection brutale de celui-ci lors du gonflement simultanés des
deux gilets.
L'airbag ne dispense pas d'une tenue appropriée !
Que
les réfractaires aux puces électroniques se rassurent : Holding Trophy
a doté son dispositif d'une fonction "auto-diagnostique" qui décèle
toute panne ou erreur du système à chaque départ. Pesant trois kilos,
le gilet air bag de protection intelligente est annoncé aux alentours
des 500 € pour une commercialisation prévue en septembre 2009, dans des
coloris et des tailles différentes. En
attendant, le développement et la finalisation continuent - notamment
la miniaturisation des composants - et ses concepteurs vont en profiter
pour peaufiner un dispositif qui devra se montrer résistant aux
intempéries. Moto-Net.Com
tient néanmoins à rappeler à ses lecteurs que tout aussi efficace qu'il
soit, ce gilet ne dispensera en aucun le conducteur de porter des
vêtements de protection appropriés, nantis de renforts homologués.
D'autant qu'en cas de simple glissade en courbe ou sur un freinage,
l'airbag ne se déploiera pas, faute de détection d'un choc...
Un gilet sans fil gonflable en 80 millisecondes
Développés dans le domaine de
l'équitation puis du deux-roues, des dispositifs portatifs et autonomes
de gilets ou de vestes gonflables existent déjà sur le marché : la
société française Hélite en commercialise depuis quelques années, tout
comme le manufacturier italien Spidi. Relativement onéreux, ces
systèmes présentent surtout une contrainte rebutant la majorité des
intéressés : le déploiement de l'airbag est commandé via un câble
reliant le pilote à la moto. Un mécanisme simple mais un tantinet
contraignant, qui peut diminuer la réactivité de l'ensemble puisque le
pilote doit être éjecté de sa monture pour que l'airbag se gonfle. A
l'heure de l'électronique à outrance, un autre grand nom de
l'équipement moto s'est attelé à un projet d'airbag se déclenchant sur
ordre d'un microprocesseur, renseigné par des capteurs d'accélérations
et un gyroscope : le D-Air, développé en Grands Prix par les pilotes
Dainese . Encore en phase d'essais, le dispositif paraît prometteur mais Dainese semble avoir des difficultés à finaliser sa démarche.
API, première société européenne à
proposer un airbag de protection pour cavaliers, a suivi cette
démarche. Depuis 1999, l'enseigne planche elle aussi sur la faisabilité
d'un système d'airbag sans fil, doté de propriétés de gonflages
similaires aux standards automobiles. Approché par le groupe Holding
Trophy (qui regroupe les marques Bering, Segura, BLH, STT...) en 2006,
API devient la filiale de recherche et développement du groupe
français, avec pour objectif principal d'élaborer ce fameux dispositif
de protection. Présenté officiellement au salon Intermot de Cologne, "l'airbag de protection intelligente"
s'appuie sur des études menées par l'INRETS (Institut de recherche sur
le transport et leur sécurité) dont les résultats ont mis en avant la
réactivité minimale du dispositif pour une protection optimale et les
zones du corps humain à protéger en priorité. Utilisant
une liaison radio pour déclencher le gonflement, l'airbag API Holding
Trophy réagit 30 millisecondes après la détection du choc, grâce à
l'envoi de signaux par les accéléromètres montés sur la fourche du
deux-roues. Le gonflement est effectif en 80 millisecondes après
l'impact et les coussins de 60 litres restent totalement gonflés durant
six secondes - soit le double qu'un airbag auto - pour protéger son
utilisateur d'un second choc consécutif à une glissade.
Ultra-réactif - les crash-tests
moto-voiture et les données de l'INRETS démontrent que le gilet est
complètement gonflé quelques instants avant que le pilote percute
l'obstacle -, le système ne nécessite aucune maintenance particulière,
hormis le remplacement annuel des piles d'alimentation. L'appairage
entre le gilet et la moto repose sur des technologies avancées
comparable au Bluetooth et se réalise une fois pour toutes lors de
l'achat. D'un volume conséquent une fois déployé, l'airbag API Holding
Trophy peut être porté par le conducteur et son passager, sans aucun
risque d'éjection brutale de celui-ci lors du gonflement simultanés des
deux gilets.
L'airbag ne dispense pas d'une tenue appropriée !
Que
les réfractaires aux puces électroniques se rassurent : Holding Trophy
a doté son dispositif d'une fonction "auto-diagnostique" qui décèle
toute panne ou erreur du système à chaque départ. Pesant trois kilos,
le gilet air bag de protection intelligente est annoncé aux alentours
des 500 € pour une commercialisation prévue en septembre 2009, dans des
coloris et des tailles différentes. En
attendant, le développement et la finalisation continuent - notamment
la miniaturisation des composants - et ses concepteurs vont en profiter
pour peaufiner un dispositif qui devra se montrer résistant aux
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tient néanmoins à rappeler à ses lecteurs que tout aussi efficace qu'il
soit, ce gilet ne dispensera en aucun le conducteur de porter des
vêtements de protection appropriés, nantis de renforts homologués.
D'autant qu'en cas de simple glissade en courbe ou sur un freinage,
l'airbag ne se déploiera pas, faute de détection d'un choc...
Invité- Invité
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